N’écoutez pas ceux qui disent et répètent ces objections que nous connaissons tous
« Je n’ai pas le temps ! »
Nous n’avons jamais le temps, c’est l’époque qui veut ça. Mais croyez-nous, dès que l’on a un problème on est bien content de trouver un syndicaliste qui a du temps à vous consacrer.
« Cela risque de nuire à ma carrière »
La seule chose qui puisse nuire à une carrière c’est le manque de compétences ou la faute professionnelle. De toute façon nos adhérents bénéficient d’un anonymat total.
« C’est trop cher ! »
Comme toutes les assurances, c’est toujours trop cher lorsque tout va bien et étrangement bon marché en cas de problèmes. Êtes-vous sûr de ne jamais rencontrer de problème ? De plus la cotisation est déductible à 66% des impôts sur le revenu.
« Je préfère traiter directement avec ma hiérarchie »
Soit mais êtes-vous certain(e) que ce soit toujours possible ? Êtes-vous toujours écouté(e) et entendu(e) ? Serez-vous toujours suffisamment « corporate » ?
« Les syndicats sont politisés »
La CFE-CGC défend les intérêts professionnels des salariés cadres et de l’encadrement, sans autre considération. Nos adhérents et militants viennent de tous horizons.
« Je ne veux pas m’engager »
Une fois de plus, reprenons notre alternative préférée : agir ou subir. Ne jamais s’engager c’est subir sans broncher tout et n’importe quoi. Croyez-nous, l’union fait la force.
Pour faire partie du jeu, adhérez !
La Confédération Française de l’Encadrement CGC est composée de fédérations et de syndicats professionnels. Elle est représentée au niveau de l’entreprise par la section syndicale, conformément à la loi du 27 décembre 1968.
La section syndicale fait partie d’un syndicat professionnel déterminé en fonction de sa branche d’activité (par exemple : la métallurgie, la chimie, la banque…ou l'assurance !). C’est au syndicat qu’il appartient de rendre effective l’adhésion, de remettre la carte syndicale, d’encaisser la cotisation et d’apporter informations et conseils, sur tous les problèmes de la branche professionnelle.
La loi du 20 Août 2008 a transposé dans le Code du travail les règles sur la représentativité syndicale et la négociation collective, négociées entre les partenaires sociaux. Elle conforte ainsi davantage la légitimité des syndicats de salariés par la prise en compte dans la détermination de leur représentativité de leur audience aux élections professionnelles et confère une légitimité plus grande aux accords collectifs avec le renforcement du principe majoritaire. Ainsi, dans l’entreprise ou l’établissement, peuvent être considérées comme représentatives les organisations syndicales qui ont recueilli au moins 10 % des suffrages exprimés (hors votes blancs et nuls) au premier tour des dernières élections des titulaires au comité social et économique de l'entreprise (CSE).